Sous Akim Daouda, le FGIS affiche une croissance soutenue, passant de 202 à 343 milliards FCFA (2020-2022)
Sous la direction d’Akim Mohamed Daouda depuis 2020, le Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques (FGIS) a connu une remarquable ascension dans le paysage économique gabonais. Gérant le Fonds Souverain de la République Gabonaise (FSRG), le FGIS a vu la valeur du fonds croître de manière significative, affichant une augmentation de 141 milliards de FCFA en valeur relative et de 70% en valeur absolue entre 2020 et 2022.
Depuis sa nomination à la présidence du Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques (FGIS) en 2020, Akim Mohamed Daouda a fait preuve d’une gestion visionnaire, impulsant une croissance significative du Fonds Souverain de la République Gabonaise (FSRG). La valeur du Fonds a connu une progression spectaculaire, passant de 202 à 343 milliards de FCFA en seulement deux ans. Cette augmentation de 141 milliards en valeur relative et de 70% en valeur absolue atteste de la pertinence des choix stratégiques opérés sous sa direction.
Le FGIS joue aujourd’hui un rôle central dans l’économie gabonaise avec neuf filiales à son actif, couvrant des secteurs allant de l’énergie à la finance en passant par le tourisme. Cependant, la stratégie du FGIS ne se limite pas à la simple gestion d’entreprises. Akim Mohamed Daouda a souligné que le mandat du Fonds est double : garantir l’épargne intergénérationnelle et contribuer à la diversification de l’économie. Cette évolution d’une gestion passive à une approche proactive d’investissement témoigne de l’engagement du FGIS à créer de la valeur pour les générations futures tout en soutenant la diversification économique du Gabon.
Parmi les réalisations marquantes, la SCG Ré a fait une entrée remarquée à la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac), confirmant la stratégie de développement progressif et maîtrisé du FGIS. Quant à la Gabon Power Company (GPC) et à la Façade maritime du Champ Triomphal (FMCT), elles poursuivent leur évolution en vue de leur entrée en bourse, alignant leurs débuts avec la maturité de leurs projets respectifs.
Le financement du FGIS repose sur une combinaison judicieuse de sources, incluant la provision pour investissements diversifiés et la provision pour investissements dans les hydrocarbures (PID/PIH), ainsi que les revenus de dividendes des sociétés. Le FGIS a également obtenu le mandat exclusif de commercialiser les crédits carbones gabonais. Bien que ces crédits suscitent un intérêt international, Akim Mohamed Daouda a souligné les défis posés par les méthodologies de valorisation actuelles, insistant sur la nécessité de développer une approche adéquate pour les pays, comme le Gabon, qui ont préservé leur environnement.