« Si le Gabon devait couper ses arbres, les sécheresses et les inondations dans d’autres pays seraient encore pire » (Savina Ammassari)

Le Gabon s’est illustré sur la scène internationale par son exemplarité en matière de lutte contre le changement climatique. Dans une interview accordée à Afrique Renouveau, la Coordonnatrice résidente de l’ONU au Gabon, a montré en quoi les actions du gouvernement sont indispensables à l’atteinte des objectifs climatiques.

Le Gabon est un acteur incontournable en matière de lutte contre le changement climatique. Grâce aux efforts du Président Ali Bongo Ondimba et de ses collaborateurs, le pays est devenu un leader mondial dans le domaine de la préservation des forêts, de l’environnement, des eaux et de la vie terrestre (humaine, animale et végétale).

Grâce à son vaste couvert forestier, le Gabon absorbe annuellement 100 millions de tonnes de carbone. Il est, à cet effet, « l’un des pays les plus positifs en carbone au monde et, a ce titre, au service de la planète et de l’humanité ». C’est ce qu’a déclaré Savina Ammassari, Coordonnatrice résidente de l’ONU au Gabon. Elle s’exprimait ainsi lors d’une interview accordée à Kingsley Ighobor d’Afrique Renouveau.

Selon elle, les catastrophes climatiques enregistrées en Afrique et dans le reste du monde auraient été plus dévastatrices si le Gabon ne conservait pas ses forêts. « Si le Gabon devait couper ses arbres, les sécheresses et les inondations dans d’autres pays seraient encore pires qu’elles ne le sont aujourd’hui » a indiqué Ammassari. Elle préfère donc la non-déforestation et la gestion durable des ressources naturelles au reboisement. Elle invite tous les États à prendre exemple sur le Gabon, la superpuissance verte d’Afrique.

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